Une
semaine auparavant, un membre de la coalition déclara sous couvert
d’anonymat que « les
États-Unis et la Grande Bretagne insistèrent sur notre présence au
sommet Genève 2 ». Et il ajouta : « Il est clair
que les deux pays cesseront leurs soutiens si on ne participe pas à
la conférence. Et on perdra toute crédibilité face à la
communauté internationale ».
La
coalition nationale syrienne pris sa décision de participer à la
conférence suite aux pressions américaines et britanniques. La
trahison est claire de la part de cette coalition, qui est sous
l’emprise des États occidentaux, afin d’assurer leurs intérêts.