Communiqué
de presse
La haute cour du Pakistan a décidé du
renvoi de Redha Gilani du poste du chef du gouvernement le 19 juin
2012, suite aux accusations de corruption le concernant. Les crimes
de Gilani ne sont pas limités à la corruption, car il est à
l'image des autres dirigeants qui ont appliqué de centaines de lois
capitalistes impies pour détourner les richesses de la Oumma, pour
interdire la population d'avoir recours aux besoins de base, de
bénéficier de la sécurité et pour l’empêcher d'appliquer la
religion islamique. Lui et d'autres traîtres de l'état pakistanais
ont négligé les lois islamiques qui permettent de faire revenir
cette Oumma à sa place réelle, à la tête de l'humanité, comme
elle le fut durant de longs siècles au sein du Khalifah. Si la haute
cour jugeait avec la loi islamique au Pakistan, aucun dirigeant ne
resterait à sa place que ça soit Kiyani et Zerdari. Ce système
démocratique impie ne peut pas être réformé par la mise en place
d'un nouveau dirigeant même s'il est intègre. Par exemple, la prise
de pouvoir d'un dirigeant intègre chrétien ou hindou ne peut pas
rendre sa direction de la prière juste, même s'il passerait
soixante ans à prier.
La démocratie
au Pakistan est en fin de vie et la tentative des
dirigeants de prolonger sa durée de vie par des affaires dramatiques
ne fera pas dévier l'attention du peuple car ce dernier n'a pas de
lien avec ce système et il n'est pas inquiet de savoir quel
dirigeant viendra ou partira au sein de ce système. Cette période
actuelle dans toute la planète est pour l'islam et l'état du
Khalifah, de la Tunisie à la l'Indonésie, de la Syrie au
Bangladesh, les gens demandent le Khalifah. Il est actuellement venu
le temps pour les chefs militaires sincères de donner la force à
Hizb ut-Tahrir pour établir l'état du Khalifah avec lequel les
attentes de la Oumma seront atteintes.
Chahzab Sheikh
Porte parole
adjoint de Hizb ut-Tahrir Pakistan
30 Rajab 1433
20/06/2012
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